"home sweet bed"

- Je plaisante aussi, mais je ne voyais pas ce qu'il y avait dans tes réflexions qui porter à plaisanterie.

Gyo recroisa ses bras, sa tête tomba lourdement sur son torse... Le bus stoppa, il failli en tomber

-Arrivé

Il descendis du bus et attendis Yaone

- Je parle pas de ce qu'on parle mais en général... Dans ta vie dans sa globalité

Yaone descendit et suivit Gyokkei. Quelle était cette obsession des humains à la trouver rabat-joie et triste ? Elle avait pourtant fait des progrès cette année.

- Si tu le dis.

-Roh lala.... Que t'enthousiasme !

Yaone soupira intérieurement. Et bien sûr il fallait qu'elle soit enthousiaste. Elle fit l'effort de sourire et se félicita des efforts qu'elle avait fait cette année pour réussir à dissimuler ses émotions quand elle le souhaitait. Son sourire paraissait parfaitement naturel vu de l'extérieur.

- Et oui.

Gyo lui souria, Il lui tendis son bras

- Enfin tu est toi et c'est pour ca qu'on t'aime !

Yaone posa sa main sur le bras de Gyo.

- Et je suis ravie d'être moi, si tu veux tout savoir.

-Heureusement !! Alors revenons a notre scolarité, tu la sens comment cet année haut la main comme les autres ?

Yaone sourit.

- Etant donné qu'on doit refaire notre dernière année, puisque nous n'avons pas passé les examens, il n'y a pas de raison. Et je travaille pour comme à mon habitude.


Elle lui fit un petit pied de nez.

- J'aime bien être première de la classe.

Gyo rigola

-Non sans blague ??! C'est vrai , j'avais pas du tout remarqué !!! Miss Yaone première de la classe tiens donc !! Remarque si j'ai besoin d'un coup de main je saurai vers qui me tourner, miss donne t'elle des court de soutiens ?

Yaone sourit, amusée.

- Je peux en donner si tu as du mal avec certaines notions, mais je ne sers pas de cobaye. Et puis, comme avant, je pense que je prêterais mes notes de cours si les autres élèves en ont besoin.

bon ben faudra trouver un cobaye... si je vois pas de mes yeux j'aurai plus de mal a comprendre

Yaone haussa légèrement les épaules.

- Tous les cours ne demandent pas de cobaye pour tester, mais bon c'est toi qui vois.

-La torture c'est mon préféré !

- Oui, ben alors là, tu vois sur ce point-là, j'ai eu ma dose. Donc cherche-toi un autre cobaye.

Yaone aimait bien les cours de torture, elle les avait même mis en pratique l'année dernière, mais c'était un cours qu'elle préférait approfondir de façon théorique, ne pratiquant que sur les cobayes prêtés par Seth.

Il laissa tomber sa tête sur son torse une nouvelle fois...

_Yaya sa fait un quart d'heure que je te dis que je veux que TU me donnes des cours de soutiens, et que JE trouverai un cobaye si y'as besoin.... Des fois j'ai l'impression que tu m'écoutes pas...

- Je t'écoute, mais je m'inquiètes de la façon dont tu trouveras un cobaye.

Il agita la main de haut en bas

-Oh mais t'inquiète dont pas pour ca, y'as assez d'abruti dans cette ville.. Y'en as bien qui doivent avoir besoin de fric !

Yaone haussa les épaules.

- Ce qui signifie qu'il ne faut pas les tuer, et les soigner ensuite.

Gyo haussa les épaules a son tour..

-Oui si tu veux... Mais au moins si on les tue.. J'aurai pas besoin de les payer !... Sa va je plaisante ! On les soignera...

Il arrivèrent devant la magasin de literie, Gyo ouvrit la porte et fit place pour que Yaone puisse entrée la 1ère...
Il entra a sa suite et jeta un rapide coup d'oeil autour de lui pour repéré ce qu'il était venu chercher

-Ah c'est par la !

Yaone entra dans le magasin.

- Merci.

Elle attendit qu'il entre pour qu'il la dirige et voyant qu'il avait trouvé sa destination, elle le suivit.

- Tu as l'air de bien connaître.

-Oh ben je suis déjà venu quand j'étais en 1ere année.. je trouvais déjà leur matelas affreux a l'école.. Et ils ont tout reconstruis a l'identique.. C'est pour ca que c'est bien les chaines de magasin, t'en as vu un, tu les connais touts...

Il se jeta sur le 1er matelas venu, et invita Yaya a le rejoindre..

- Si tu le dis, je te crois.

Elle le rejoignit mais se contenta de s'asseoir au bout du lit, ses jambes sur le matelas, laissant ses pieds en dehors. Elle avait vu une pancarte interdisant de mettre les chaussures sur les matelas.